Bien que les traitements médicaux impliquaient encore un certain niveau de mysticisme, les Romains et les Grecs firent de grandes découvertes, notamment grâce au nombre important de blessés qui pouvaient servir de sujets d'expérimentation. On utilisait du vin comme antiseptique : l'alcool permettait de nettoyer la plaie et d'éviter l'infection. Les graines de pavot et de jusquiame noire servaient d'analgésiques. Les chirurgiens pouvaient même nettoyer les entrailles avec une préparation d'eau et d'huile avant de les remettre en place dans l'abdomen du patient.
