Écuries des hippeis

Prix 3,000
Coût de réparation 1,200
Coût de réparation si endommagé 2,400
  • +1 de capacité de recrutement des armées
  • +5% d'attaque pour l'infanterie de mêlée dès le recrutement
  • +15% d'attaque en mêlée pour la cavalerie de mêlée dès le recrutement
  • +5% de dégâts de l'infanterie lance-projectiles dès le recrutement
  • +5% de défense en mêlée pour l'infanterie dès le recrutement
  • -1 de nourriture
Chaîne de construction (Athènes (Courroux de Sparte), Corinthe (Courroux de Sparte), Ligue béotienne (Courroux de Sparte), Sparte (Courroux de Sparte))
   
   
Description

Les chevaux jouissaient d'un statut respecté dans la société romaine. Élevés pour la course, les sacrifices religieux ou pour servir dans l'armée, ils n'étaient pas les animaux de labeur qu'ils devinrent dans des cultures plus tardives, en partie à cause de leur coût. Les chevaux étaient très peu utilisés dans les fermes, si ce n'est pour leur sang afin de purifier d'autres bêtes ou pour accrocher leur tête à un mur dans l'espoir de bénir les récoltes !

On raconte que Romulus disposait d'une garde personnelle de 300 cavaliers. La cavalerie romaine était constituée, au départ, des classes les plus riches, les chevaliers ou la « classe cavalière » qui pouvaient payer eux-mêmes pour leurs montures. Plus tard, le sentiment de faire partie de l'élite fut maintenu, car les classes supérieures restèrent privilégiées et leurs membres étaient payés trois fois plus que les soldats à pied. Avec la croissance de l'empire, des cavaliers gaulois, numides, espagnols et thraces vinrent grossir les rangs. La cavalerie était utilisée pour explorer, porter des messages et au combat, pour charger, flanquer rapidement l'ennemi et prendre le dessus.